Logo of Team Belgium

Avec Seppe Smits, la Belgique compte un snowboarder capable de rivaliser avec le top mondial. S’il ne participe pas à une coupe du monde, alors il séjourne en montagne où il apprend de nouvelles figures. Avec 7 places Top-8 lors de Coupes du Monde en 2016, dont 3 places de podium et une 1ère place lors de la Coupe du Monde à Seiser Alm (Italie) en janvier de cette année, les Jeux d’hiver de PyeongChang semblent bien prometteurs pour Seppe Smits.

Malgré son jeune âge, il aura 26 ans cette année, Seppe Smits est considéré comme un ancien dans le snowboard. C’est à l’âge de 9 ans, qu’il a commencé le snowboard. Cela fait entretemps 17 ans qu’il est sur sa planche …

Seppe Smits: “Le snowboard est un sport passionnant, il y a tellement d’options et de disciplines différentes. Chaque compétition offre une autre situation, vous avez tellement de différentes figures qui peuvent s’exécuter de façon différente et avec différents grabs et différents styles. Ce qui fait que le snowboard n’est jamais pareil. J’ai découvert de nouveaux endroits et de nouvelles cultures et je m’amuse toujours beaucoup avec mes amis en snowboard. C’est ce qui rend le snowboard toujours amusant et intéressant.”

Pour Seppe Smits, cette saison est bien remplie avec les qualifications pour les Jeux Olympiques de PyeongChang. “De janvier à la fin mars, je n’ai qu’une semaine sans compétition. Durant les semaines que j’ai encore de libres, je vais autant que possible à la montagne pour apprendre de nouvelles figures.”.

Il a déjà obtenu de très bons résultats en slopestyle. Aux Jeux Olympiques de Sotchi, il est passé près de la finale dans cette discipline. Mais en big air, qui figurera pour la première fois au programme de PyeongChang, Seppe Smits fait partie du top mondial.

“Je ne pense pas que je remarquerai une grande différence entre ma première participation à Sotchi et celle de PyeongChang. Bien sûr, les Jeux auront lieu dans un autre pays et la composition des pistes sera aussi différente. Ce sera donc comme à chaque compétition, m’adapter le mieux possible dès mon arrivée aux conditions de la piste.”

“Le fait que le big air soit maintenant au programme olympique c’est super. Je vais sûrement essayer des nouvelles figures, mais je ne suis certainement pas le seul dans le circuit à planifier cela (rire). Donc, patience, nous verrons bien où j’en serai à ce moment-là.”